Savez-vous pourquoi j’aime les week-ends, et spécialement les dimanches ? C’est devenu le moment où je prends le temps de vous écrire, de prendre du temps pour moi-même, de faire quelque chose que beaucoup de gens n’osent pas : prendre le temps de mettre leurs pensées sur papier et comprendre qui ils sont, ce qu’ils aiment et ce qu’ils aimeraient être. C’est aussi un moment de solitude et de tristesse loin de ma famille, un temps qui me ressource, où je fais ce que je n’ai pas pu faire pendant la semaine, afin de recommencer la semaine sur de bonnes bases.
Plus j’écris, plus je me libère spontanément, je retrouve et je suis touchée par vos messages et les publications sur mes réseaux sociaux. Vous savez, les réseaux sociaux sont comme des conversations entre amis : plus vous parlez d’un sujet, plus vous vous focalisez dessus, plus vous pensez le voir partout. Par exemple, vous ne prêtez jamais attention à une maison avec des vitres rouges, cela ne vous semble pas important, puis un jour, vous apprenez que ces vitres ont une propriété magique et n’ont pas besoin d’être nettoyées. Soudain, toute votre énergie se concentre sur la compréhension de cette nouveauté, voire sur le changement de vos propres vitres pour obtenir celles-ci. De même, chaque fois que vous recherchez ou discutez de quelque chose, les algorithmes de votre vie vous présentent davantage cette chose, comme sur les réseaux sociaux où une recherche entraîne des publicités, des articles, des suggestions, vous savez comment ça fonctionne.
Ainsi, plus j’écris, plus je lis, et je m’arrête quelques instants sur certaines publications, plus je reçois des articles similaires. Par exemple, je lis beaucoup d’articles tels que des citations, des poèmes, des articles sur l’huile d’olive et la Grèce, et chaque fois j’ai des suggestions dans ces sujets. Soudain, alors que je fais quelque chose, je lis quelque chose qui me transmet un message, et cela me rend encore plus heureuse et positive, parfois même plus triste. Mais c’est à moi de choisir le type de messages que je souhaite recevoir en concentrant cette énergie sur les sujets qui me font du bien. Voilà la raison pour laquelle il est très important de prêter attention à ce à quoi vous accordez votre attention, et combien de temps vous passez à lire un article sur les réseaux sociaux.
Un sujet qui me fait particulièrement du bien, que j’admire et dont je pense qu’il est temps de vous en parler, c’est l’écrit de notre grand auteur crétois, Kazantzakis. Plus je lis, plus je me sens responsable, touchée et forte ; le dernier texte que j’ai lu a mis des mots sur mes pensées, il m’a vraiment aidé à comprendre pourquoi j’ai besoin de vous parler, de m’expliquer à moi-même des choses parfois difficiles à comprendre et à vivre.
Beaucoup d’entre vous me demandent pourquoi j’habite en Normandie et non en Crète. Ne trouvez-vous pas normal que la Crète soit un paradis ? Pourtant, pendant toutes ces années, je n’arrivais pas à mettre des mots sur cela jusqu’au moment où j’ai lu cet article. Je vous donne sa version grecque et sa version française :
Ο Ν. Καζαντζάκης μιλάει για την Ελλάδα “Όσο πιο μακρυά είμαστε από την πατρίδα μας, τόσο περισσότερο τη σκεφτόμαστε και τόσο περισσότερο, την αγαπάμε. Όταν βρίσκομαι στην Ελλάδα βλέπω τις μικρότητες, τις ίντριγκες, τις ανοησίες, τις ανεπάρκειες των αρχηγών, τη μιζέρια του λαού. Όμως από μακρυά δεν βλέπουμε τόσο ευδιάκριτα την ασκήμια και έχουμε περισσότερη ελευθερία να πλάσουμε μια εικόνα της πατρίδας αντάξια ενός ολοκληρωτικού έρωτα. Να γιατί δουλεύω καλύτερα και αγαπώ καλύτερα την Ελλάδα όταν βρίσκομαι στο εξωτερικό. Μακρυά της καταφέρνω να συλλάβω καλύτερα την ουσία της και την αποστολή της στον κόσμο, και συνακόλουθα τη δική μου ταπεινή αποστολή. Κάτι ιδιαίτερο συμβαίνει στους Έλληνες που ζουν στο εξωτερικό. Γίνονται καλύτεροι. Έχουν την περηφάνεια της φυλής τους, νιώθουν ότι όντας Έλληνες έχουν την ευθύνη να είναι αντάξιοι των προγόνων τους. H πεποίθησή τους, ότι κατάγονται από τον Πλάτωνα και τον Περικλή, μπορεί ίσως να είναι μια ουτοπία, μια αυθυποβολή χιλιετιών, όμως αυτή η αυθυποβολή, γενόμενη πίστη, ασκεί μια γόνιμη επίδραση στη νεοελληνική ψυχή. Χάρη σ’ αυτή την ουτοπία επέζησαν οι Έλληνες. Μετά από τόσους αιώνες εισβολών, σφαγών, λιμών, θα έπρεπε να έχουν εξαφανιστεί. Όμως η ουτοπία, που έγινε πίστη, δεν τους αφήνει να πεθάνουν. H Ελλάδα επιζεί ακόμα, επιζεί νομίζω μέσα από διαδοχικά θαύματα.”
(Απόσπασμα από συνέντευξη του Ν. Καζαντζάκη στον Pierre Sipriot, Γαλλική Ραδιοφωνία – Παρίσι, 6 Μαΐου 1955.) Πηγή: Ι.Μ.Κ. (ΙΣΤΟΡΙΚΟ ΜΟΥΣΕΙΟ ΚΡΗΤΗΣ)
« N. Kazantzakis parle de la Grèce : “Plus nous sommes éloignés de notre patrie, plus nous pensons à elle et plus nous l’aimons. Quand je suis en Grèce, je vois les petites choses, les intrigues, les absurdités, les lacunes des dirigeants, la misère du peuple. Mais de loin, nous ne percevons pas aussi clairement la laideur et nous avons plus de liberté pour façonner une image de la patrie digne d’un amour total. C’est pourquoi je travaille mieux et j’aime mieux la Grèce lorsque je suis à l’étranger. En étant loin d’elle, je parviens à mieux saisir son essence et sa mission dans le monde, et par conséquent ma propre humble mission. Quelque chose de particulier se produit chez les Grecs qui vivent à l’étranger. Ils deviennent meilleurs. Ils ont la fierté de leur race, ils ressentent qu’en tant que Grecs, ils ont le devoir d’être dignes de leurs ancêtres. Leur conviction, qu’ils descendent de Platon et de Périclès, peut-être une utopie, une autosuggestion millénaire, mais cette autosuggestion, devenue foi, exerce une influence féconde sur l’âme néo-hellénique. Grâce à cette utopie, les Grecs ont survécu. Après tant de siècles d’invasions, de massacres, de famines, ils auraient dû disparaître. Mais l’utopie, devenue foi, ne les laisse pas mourir. La Grèce survit encore, je pense, à travers des miracles successifs.”
(Extrait d’une interview de N. Kazantzakis avec Pierre Sipriot, Radio France – Paris, 6 mai 1955.) Source : I.M.K. (Musée historique de la Crète) »
Vous comprenez un peu mieux maintenant ce que nous ressentons lorsque nous vivons entre deux mondes, deux pays ? Comment pouvons-nous nous motiver pour travailler encore plus, être plus méthodiques, donner toute notre âme pour créer quelque chose, une critique, une entreprise, une famille, tout simplement pour être heureux et disponibles pour les autres ? Le message est profond, il faut vraiment connaître les deux côtés franco-grecs pour le comprendre. Et c’est là toute la beauté des choses, et je suis là pour vous présenter toutes les richesses crétoises et grecques en tant que Crétoise qui a trouvé un deuxième pays, qui vit dans un deuxième pays mais qui pense toujours à son premier pays. Et savez-vous ce qui est merveilleux là-dedans ? C’est vous, car si vous lisez ce que j’écris, si vous soutenez mon travail, cela signifie que vous soutenez ce que je représente, donc vous comprenez les deux façons de vivre. Je dis souvent que pour être heureux, il faut vivre entre les deux pays, la Grèce et la France. Ces deux joies vont nous unir encore plus. Les personnalités franco-grecques vont sortir pour vous sourire, la Grèce ouvre ses portes à nous tous avec sa flamme.
On ne peut pas apprécier quelque chose si on ne le connaît pas autrement. Comment pouvons-nous apprécier notre confort en France, surtout dans le domaine de la sécurité sociale, si nous ne savons pas comment cela se passe dans d’autres pays ? Comment pouvons-nous apprécier le fonctionnement de nos associations sportives, la plupart fonctionnant avec des bénévoles pour réduire le coût des adhésions et donner la chance à tous les enfants de faire du sport ? Quand je vous dis que nous payons 60 euros pour la saison de sport de mon fils et qu’il reçoit des équipements et des cadeaux, alors qu’en Grèce, les parents doivent dépenser au moins 50 euros par mois par enfant pour des activités similaires. Imaginez avoir deux enfants et devoir toujours passer par le secteur privé pour toutes les activités sans parler des cours privés, des loisirs, des garderies, des camps, etc. Chaque pays a des choses à offrir et à respecter, donc un Grec vivant à l’étranger peut avoir une perspective différente de l’amour pour la Grèce et apprécier autant son deuxième pays.
Beaucoup d’entre vous me demandent si ma famille me manque, et je réponds aujourd’hui que oui, elle me manque terriblement. Mais au final, qu’est-ce qui compte le plus, la quantité de temps passée ensemble ou la qualité ? Peut-être que trois semaines par an nous unissent encore plus, et le fait de ne pas avoir ma famille avec moi me pousse à être encore plus concentrée sur ce que je veux réussir, à me distinguer. Le samedi après-midi, c’est du travail acharné et non du café en terrasse. Ne me dites pas que le travail ne paie pas toujours, car je crois fermement qu’en travaillant dur, nous rencontrons d’autres personnes avec les mêmes valeurs que nous, les mêmes idées magiques de partager les mêmes points de vue et de profiter des bons moments plutôt que de vivre des moments répétitifs et sans intérêt.
Pour toutes ces raisons, je crois en ces mots de Kazantzakis selon lesquels les Grecs de l’étranger deviennent de meilleures personnes, ils veulent réussir, ils savent travailler, comparer et donner le meilleur d’eux-mêmes. C’est la culture qui nous libère. Récemment, ma famille m’a dit que mon nom était mentionné à la radio crétoise, disant que heureusement que la Crète a des personnes comme Maria THALASSINAKI pour la soutenir, ainsi que tous les Grecs de l’étranger qui font plus de choses que certains Crétois qui vivent même en Crète. Vous imaginez ma joie et mon stress à cette nouvelle.
Vous comprendrez de plus en plus avec nos textes du dimanche comment une Crétoise pense et pourquoi je suis devenue positive au fil des années, moi, une petite Crétoise si forte et triste. Comment il faut être positif !
Ce dimanche est particulier car c’est Pâques orthodoxe, et comme chaque année, je souhaite être en Crète, mais je me retrouve encore ici. C’est un moment de tristesse de ne pas être avec ma famille et de ne pas vivre les coutumes grecques à la maison et à l’église. Chaque année, je me promets de me rendre en Crète, mais les projets professionnels sont tellement intenses que je ne peux pas me permettre ce déplacement. Ce sera sûrement pour l’année prochaine.
Pendant ce week-end, je profite pour travailler sur ma formation en indesign et pour préparer ma participation au concours “Victoires Femmes et Challenges” au Prix d’Audace. Je suis audacieuse, n’est-ce pas ? Hihihi. Tout cela arrive pour une raison, et ma raison d’être ici, loin des fêtes, anniversaires et moments familiaux qui prennent du temps, est de les sacrifier pour un bien plus grand. Ainsi, je travaille de manière plus intelligente, je me concentre pour mener mon projet à bien. On transforme alors un mal en bien et on ne lâche rien !
Comme dit ma maman : quand tu n’as rien, tu inventes ! Et oui, c’est mon réflexe ! Je termine avec une phrase de l’auteur crétois Kazantzakis : “Tu as ton pinceau, tu as tes couleurs, tu peins le paradis puis tu y entres.” Je vous remercie énormément de rester avec moi jusqu’à la fin de ce post, sas efcharisto para poli.
Na ste panta kala ke xaroumeni,
Je vous souhaite de joyeuses Pâques, καλό Πάσχα σε όλους, καλή Ανάσταση,
Filika,
Maria – Votre Crétoise
Suivez-moi sur les réseaux sociaux FACEBOOK @recettesdunecretoise, Instagram @recettesdunecretoise, lisez mes articles sur ce blog et n’hésitez pas à faire un petit tour sur mon site www.leprestigecretois.fr
Un grand merci à toutes et à tous. Merci d’aimer mon pays, mes pays.
J’ai eu la chance d’être entourée par des personnes compétentes, protectrices, de commerçants, de chefs de cuisine qui m’ont aidée dans le lancement de mon entreprise. Sans eux, Le Prestige Crétois.fr n’existerait pas. Sans Vous, non plus ! Un grand merci pour votre confiance envers mes producteurs crétois et moi-même !
Je suis très contente de vous retrouver ce dimanche. Je suis certaine que vous allez très bien, et si ce n’est pas le cas, c’est peut-être juste que vous ne vous rendez pas compte de combien vous êtes heureux. Alors, avant de commencer, un petit jeu ! Pensez à quelque chose de négatif que vous souhaitez changer ce matin, quelque chose de simple ! Par exemple : ce matin, j’avais mal partout, particulièrement aux cervicales comme très souvent, mais au lieu de me dire que je suis une épave de 44 ans, en écoutant l’hymne de Jo, je me dis que ce sera ma solution pour aujourd’hui. Je trouve cette musique si motivante que je vais l'écouter toute la journée. Ainsi, chaque fois que je sens mes cervicales douloureuses, je vais bouger ma tête au rythme de l’hymne, en faisant des mouvements pour soulager cette douleur. Mon exemple n’est peut-être pas le plus fort, mais j’en viens au point que je voulais évoquer : nous allons discuter de comment se surpasser, transformer le mal en bien, et trouver des outils et des personnes pour nous aider à atteindre nos objectifs et libérer notre meilleur potentiel, tout comme le font les grands sportifs qui trouvent des solutions pour surmonter leurs douleurs.
Alors, comment une Crétoise parvient-elle à écrire et créer un blog à un niveau de français irréprochable ? Ah, quelle question ! Comment une personne qui bloque souvent à l’oral, qui a une mémoire limitée, qui jongle entre mille choses, et qui écrit de longs textes, peut-elle réaliser tout cela ? Pour certains, il existe toujours des solutions faciles ; pour d’autres, un parcours perplexe ; tandis que pour d’autres encore, c’est quelque chose de banal. En fait, je suis comme vous, avec une double identité pour certains, mais comme vous. C’est juste que je mets des mots sur mes défis et je fais tout pour les surmonter en trouvant d’autres solutions et des personnes qui peuvent m’aider.
J’ai appris quatre langues dès mon plus jeune âge, comme tous les Grecs qui commencent très tôt les cours privés d’anglais. Ensuite, j’ai choisi l’allemand comme deuxième langue car je le trouvais plus simple que le français. En allemand, on dit ce que l’on écrit, donc en maîtrisant la grammaire, on sait tout. Ensuite, j’ai appris l’italien que j’adore. Apprendre les langues est une sécurité pour trouver un emploi en Crète, c’est une facilité pour vivre au quotidien et découvrir d’autres cultures.
Pour moi, c’était aussi une façon d’optimiser mon temps pendant les vacances en fréquentant des écoles privées pour être diplômée à l’âge de 18 ans et finaliser mes études en langues. Pourquoi perdre notre temps et ne pas rendre les vacances utiles pour bien préparer l’avenir ? Si on part en vacances, on part en vacances, mais si on ne part pas, pourquoi rester inutiles ?
D’ailleurs, j’ai toujours lu énormément de livres, j’étais très heureuse en lisant et en découvrant toutes les aventures de Jules Verne, et comme la loi à la maison était, l’été, tu lis ou tu aides au rangement et au ménage, vous n’imaginez pas le temps que je passais à lire, comme ça, c’était pour mon bien et je ne perdais pas de temps inutilement. C’est aussi la raison pour laquelle j’avais toujours un livre avec moi partout où j’allais, en cas où je m’ennuie et puisse lire. Comme quelqu’un peut avoir un doudou, je me rappelle toujours avoir un livre, et même courir un jour, en partant voir les grands-parents de la part de mon père au village, pour prendre un livre au cas où j'aurais 5 minutes pour avancer. À 14 ans, je lisais déjà des livres très difficiles à comprendre, comme ceux de l’auteur Kazantzakis. Bien sûr, il m’a fallu des années après pour les relire et vraiment comprendre ce qu’il écrivait.
Vous savez, en Grèce, on ne part pas en vacances comme ici. Le temps libre est consacré à d’autres travaux pour obtenir un revenu supplémentaire, ce qui permet de partir en vacances en fin d’année grâce à la récolte des olives, et en été grâce à la récolte des raisins. D’ailleurs, c’était toujours le rythme de ma vie. Je n’ai jamais pensé que je parlerais français un jour. Le français était toujours très compliqué pour moi, avec ses accents et sa syntaxe particulière. Quand j’ai rencontré mon mari, Tony, je me suis dit que finalement, ce n’était pas une langue qui allait me vaincre ! Au bout de deux mois, j’étais déjà opérationnelle. La clé était d’oser, d’essayer, de faire des erreurs, de reprendre et de recommencer jusqu’à y arriver. Ne pas avoir peur de parler, de se faire comprendre. Si quelqu’un ne vous comprend pas, c’est parce qu’il ne fait pas d’efforts, il faut donc redoubler d’efforts pour soi-même, pas pour les autres.
Je n’ai pas appris vite parce que j’étais très cultivée ou très intelligente, mais parce que j’osais parler, même si ce n’était pas parfait, comme aujourd’hui où j’écris en sachant que je serai critiquée, voire même pas lue. Mais j’ai décidé de le faire et j’irai jusqu’au bout. On revient au fait que je n’ai pas de mémoire, donc écrire m’aide à me rappeler des choses oubliées. N'est-ce pas ?
J’ai donc commencé à parler, à écrire, à apprendre en ligne, puis avec des formateurs. Enfin, j’ai été accompagnée par des professeurs de français qui sont devenus de chers amis. Ils m’ont toujours encouragée à écrire, même si aujourd’hui, je fais encore beaucoup de fautes.
Pour écrire un texte, j’ai mis en place plusieurs solutions logistiques pour gagner du temps, améliorer la facilité et la qualité. Tout d’abord, j’ai un téléphone portable performant pour le texte et la photo, avec beaucoup de mémoire et une application de notes où je consigne chaque idée, ainsi que des photos inspirantes. Parfois, j’écris en parlant pour aller plus vite et ne rien oublier. J'enregistre mes paroles.
J’utilise plusieurs applications sur mon téléphone portable pour avancer dans les corrections et la retouche photo, tant pour mon blog que pour les produits sur mon site. Saviez-vous qu’avant les applications d’IA pour la suppression des fonds sur les photos commerciales, il fallait 15 minutes pour détourer un produit, au lieu de 10 secondes aujourd’hui ?
À ce point, je vous laisse et je continue à travailler sur le régime crétois. Chacun de nous a ses limites et nous sommes là pour les dépasser, qui sait ? Peut-être qu'un jour, vous me verrez passer devant votre maison en courant sans être essoufflée et prêt à m’effondrer par terre, ou peut-être que je pourrais vous battre au tennis de table.
C’est ça la beauté de la vie. Les Jeux Olympiques sont là pour nous rappeler qu’il faut croire, il faut bouger parce que si les autres font, on peut aussi. Qui commence le sport alors ?
Je vous souhaite une excellente journée, pleine de soleil et de bonnes nouvelles ! Notre prochain rendez-vous est dimanche prochain. . Abonnez-vous également au compte Instagram pour voir les stories autour du régime crétois qui vont commencer.
Merci pour vos messages privés, je sais que ce n’est pas toujours facile de s’exprimer en public.
filika,
Maria - Votre Crétoise
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